Coup de projecteur sur l’origine du cinéma d’animation…!

Animal locomotion, Eadweard Muybridge, 1880
Photographe britanique renommé pour ses décompositions photographiques du mouvement. Inventeur du zoopraxiscope, il est un précurseur du cinéma.

Illusions funambulesques, Georges Méliès, 1903
Un chinois apparaît graduellement sur une table au milieu d'une scène de théâtre, puis se transforme en illusionniste. Ce dernier sort d'une boîte magique les accessoires nécessaires à la fabrication d'un mannequin de femme.

L'équilibre impossible, Georges Méliès, 1902
Un homme seul, vêtu "à la française", s'avance vers le public. Il ôte sa veste et se retrouve en chemise. Il exécute alors diverses acrobaties et devient quatre personnages identiques dont l'un se retrouve posé sur sa tête et les deux autres dans ses mains.

L'homme orchestre, Georges Méliès, 1900
Cette vue est un des trucs les plus extraordinaires et les plus incompréhensibles qui aient jamais été exécutés !

Le tonneau des Danaïdes, Georges Méliès, 1900
Au milieu de la scène se trouve un tonneau posé sur un support. Autour, un homme et huit jeunes filles. L'homme réussit à faire entrer les huit jeunes filles, les unes après les autres…

Il était une chaise, Claude Jutra et Norman McLaren, 1957
Le cinéaste illustre le phénomène ­insolite de la révolte de la matière. Mais pourquoi l'homme et l'objet ne se mettraient-ils pas d'accord en toute amitié?

Voisins, Norman McLaren, 1952
Deux voisins vivent dans l'amitié et le respect jusqu'à ce qu'une fleur pousse à la ligne mitoyenne de leurs propriétés. S'ensuit une querelle qui les mènera au tombeau…

Les cordes de Muybridge, Yamamura Kouji, 2011
Dans son style graphique à la fois unique et raffiné, Koji Yamamura livre avec « Les cordes de Muybridge » une méditation dessinée sur la vie qui galope et les liens qui se brisent.